Je me réveillais enfin après un long sommeil. Quelques flashs me revenaient mais rien d'aussi puissant que cette fureur qui avait laissé place au vide de mon être. Ou était-il ? Nul trace de lui, notre dernier combat ,quel avait-été son résultat? Le silence fut ma seul réponse.
Je me relevais douloureusement pour m'apercevoir que je n'étais pas seul loin de la. A quelques pas, que dis-je quelques pas, ils étaient tout deux à la fois si proche de moi mais en réalité si éloigné un peu comme une montagne que l'on penserait touché du doigts alors qu'elle se trouve à des dizaines de lieux. Je levais les yeux pour voir qu'ils m'observaient.
L'un reflétait la bonté, la justice et la beauté alors que l'autre était malsain colereux et hideux. Il me fixait tout les deux comme si je n'étais rien d'autre qu'un inscecte que l'on s'apretait à écraser. La voix puissante du divin me fit tomber à la renverse, je ne comprenais pas ses paroles, comment aurais-je pu comprendre un ouragan ? Comment comprendre un tout, cela n'avait rien d'humain, ses paroles reflétaient son omiscience. Visiblement lassé il laissa la parole au chaos, une déferlante de vision m'assailli, dedans se cotoyer les actes les plus odieux commis par l'homme, meutres, violes, tortutes, rien ne m'étai épargné. C'est vision me rendait fou et sa voix ne faisait qu'acroitre ce sentiment de perdre pieds. Ma vision se brouillait, deux bras me saisirent l'un était chaleureux et l'autre semblait froid mais tout d'eux exprimaient ses sentiments avec une autre dimension, à la fois brulé d'amour et gelé de haine, je me sentais comme écartelé par ces poignes de fer.Je sombrais lentement vers un sommeil qui me semblait enfin être sans fin, je n'avais plus qu'une seul pensé envers cette homme qui avait été mon ami et qui m'avait trahi, la lourde faux de la mort vint enfin me ceuillir pour m'emmener dans un autre monde.
Le vide, le néant, enfin pas tout à fait, le néant n'existe que parcequ'on le définit comme tel, il existe donc bien une pensé qui se rend compte elle même de son existence. Je ne suis donc pas mort puisque je pense; pour autant je n'ouvre pas les yeux, j'ais peur, c'est plus que cela, je suis afflolé et je ne veux pas réouvrir les yeux, à quoi bon si je dois me retrouver encore une fois devant ces êtres. Je ne le suporterai pas, d'ailleur je sais déjà que je ne suis plus moi-même depuis cette rencontre. J'ais comme l'impression d'être plusieur d'ailleur j'entend un murmur dans ma tête, une voie me disant d'ouvrir les yeux, elle me dit que tout ira bien maintenant, elle est douce, apaisante mais elle est brutalement remplace par une autre. Il hurle, me hante , m'insulte, et puis soudain, je m'enfonce à l'interieur de mon crane comme si je ne voyais que de tres loin à travers mes propres yeux et pourtant mon corps se souleve, je le sens. Une voix se met soudainement à rire mais ce n'est pas la mienne, elle est plus autoritaire, plus perverse , malsaine tout simplement.
Combien de temps ont passé depuis que je ne controle plus même mon corps? Je ne sais plus des jours, des semaines voir des mois . Et durant tout ce temps, je me vois tuer et torturer, violer, voler et pire encore. Mon katana est souillé de sang, j'entend sa detresse mais pourtant je ne peux rien faire. Je ne sais même plus ou nous sommes, à force d'avoir voyager, d'avoir embarqué clandestinement sur des vaisseaux, peut-être suis-je à l'autre bout de la galaxie, peut-être même dans une autre galaxie qui sait. Le voyage a été sanglant comme les autres, seul un pilote a survécu afin que nous arrivions à bon ports, seulement celui-ci se donnera la mort dans les heures précédant notre arrivé.
"A destination de l'apareil de type alpha, nous vous demandant les codes d'accés nécessaire à l'entré sur notre planéte."
Je ou plutot il ne répond pas, il regarde seulement les centaines de tourelles lasers braquées vers nous et je le sens sourir comme si tout cela l'amusait.
"Dernier avertissement, sans code d'accés nous nous verrons obligé d'ouvrir le feu."
Toujours pas de réponse.
"Que Bouh est votre âme."
Tout parait si calme dans ces moments là, comme si le temps s'arrétait, les tirs de laser, les missiles sol-espace qui frolent la carlingue, le temps semble figé comme pour montrer que tout va bien se passer et puis le premier choc se fait sentir, suivi d'un second qui dissipe le bouclier de protection, le troisième viens à bout de la gaine de carbone, et la vitesse prise par l'apareil réglera notre sort. Je ferme les yeux et attend patiement mon ultime délivrance. Le vaisseaux craque à l'entré dans l'atmosphère, la chaleur commence à monter et tout se transforme en gigantesque fournaise, je m'évanouis pour une énième fois.
Le choque brutal du vaisseaux sur l'eau me tire de cette torpeur, à l'interieur du vaisseau, je suis tel une poupé face à un enfant, sans défense, sans pouvoir, je finis par être ejecter hors du vaisseaux, c'est magnifique, je tourne sur moi-même, j'ais l'impression de ne plus rien controler et de voir pleinement ce qu'est le monde; l'aterissage est brutal, un bruit sans équivoque m'indicant que tout mes os ou presque on éclaté me parcours le corps.
Quelque chose me chatouille le visage, c'est doux. Mes yeux s'ouvrent, un petit rongeur est sur mon visage, il semble essayer de me reconforter, ma main s'en saisit,et commence à l'enserer dans un étaut mortelle, je ne veux pas je crie mais rien n'y fait je ne controle toujours pas mon corps puis je vois les yeux du petit animal s'illuminer et comme par enchantement je reprend ma place au premier plan, ma première sensation est la douleur du à l'aterissage, j'ais les jambes brisés, les poumons perforés ; je suis mourant. Des larmes coulent , j'essais de remercier le petit animal de m'avoir fait redevenir celui que j'étais mais un horible gargouilli sort de ma bouche. Le rongeur vient se caller contre moi, il me réconforte, je souris et je me rendors.
"Il serait temps de vous reveiller étranger."
Je sursaute pour voir que je suis allongé dans un lit, deux soldats sont devant moi et un autre homme sont devant moi, ils arborent tous sur leur tunique la reproduction du rongeur qui m'a aidé.
Bien vous-semblez revenir à vous. Votre entré a été plutot spéctaculaire, que vous ayez survécu reléve du miracle et votre rencontre avec Bouh l'est encore plus."
"Bouh?" répondis-je ne comprenant pas tout.
"Oui, Bouh, le hamster divin."
"Gloire à Bouh!"Répondirent en coeur les soldats.
"He bien, je ne sais qu'une chose Bouh m'a été d'une grande aide et m'a sortie de la condition problématique qui était la mienne, je ne l'en remercirai jamais assez. Je me nomme Tycot, enchanté de vous-rencontrez."
Sujet: Présentation de la Divine Théorie du Chaos 
Dim 18 Juin - 1:50
