Les Chroniques de l'Illusion du Phoenix

Chose promise, chose due. Voila l'histoire de mon personnage et de celui d'un de mes amis, j'ais écrit cela y a deux ans maintenant un peu plus même le temps passe vite. On peut la considerer comme achevé et inachevé, la fin en elle même ne me satisfait pas mais je suis arrivé à un point ou je bloque sur la suite, je n'arrive pas à continuer ce n'est pas faute de tentative et d'idées. Vous me direz ce que vous en pensez^^
PS: Je m'excuse pour le multi post, mais je pouvais pas tout metre en une seul fois . Bonne lecteur pour les courageux:)

Chapitre 1

Lungdum est un petit village à coté de la chaîne de montagne Kashir.Une misère extrême y règne car la sécheresse et la famine y ont élue domicile depuis bientôt 2 ans et malgré cela les villageois sont heureux . Le devin du village a prédit l 'arrivé d'un événement capital en ce jour ensoleillé ; il n'en connaît pas la nature mais les villageois dans leur naïveté et leur désir de survivre ont transformé involontairement ses paroles : l'eau revient en ce jour béni !
Un immense feu de joie est allumé , la musique d'un barde itinérant égaie la soirée ,les dernières réserves d'alcool sont ouverte ainsi que les gardes mangé rempli de viande séché précieusement gardé.
J'étais la à les regarder . Depuis combien de temps ?Je ne saurais le dire mais ce spectacle n'avait su me rendre triste ou joyeux , un simple vide me remplissait comme un trou sans fond . Je fixai leur visage , leurs traits étaient grossier mais respiraient une joie de vivre tel que j'aurai pu l'envier ce qui n'était pas le cas.Soudainement tout s'arrêta , tous regardaient dans ma directions ,je me retournais pour voir la cause de ce malaise mais il n'y avait rien . Un cri éclata et rompit le silence de mort régnant sur la place du village , les enfant pleuraient ,les maris chutaient en arrière comme si leurs jambes étaient paralysées et les femmes priaient je ne sais quel divinité païenne . Leurs yeux étaient remplis d'une terreur sans nom que leurs avais-je fait ? Un instant le temps suspendit son envole , personne ne bougeait , plus un bruit n'était émis . La seconde d'après sans savoir pourquoi ou comment la panique repris le dessus et en moins d'une minute la place était vide .Les questions s'entrechoquaient dans ma tête ,j'essayais de comprendre leur réaction et finalement je su . J'étais en plein centre du brasier tel un démon des enfers complètement nu et pourtant je ne brûlais pas je restais impassible au milieu de cette fournaise c'est alors qu'une douleur me foudroya , je tomba a genoux roulant en dehors du feu pleurant comme un enfant .La douleur était insupportable mais elle se dissipa aussi rapidement qu'elle était apparu , la moitié de mon dos qui avait semblé brûlé était maintenant aussi froid que le reste de mon corps . Cette nuit était glacé ,je frissonnais c'est alors que j'entendis des bruits de pas dans mon dos ; les villageois revenaient non plus terroriser mais haineux armés de fourches et de pioches non plus pour festoyer mais pour me renvoyer en enfer . Me relevant tant bien que mal je me mis à courir vers l'abris le plus proche , la forêt , afin d'échapper à mes bourreaux . Les pierres m arrachaient des lambeaux de peaux aux pieds ,les buissons et brindilles entaillaient ma chair . Aujourd'hui , j'étais la proie et mes poursuivants semblaient gagné du terrain malgré cela aucune peur ,aucun doute ne m'assaillaient juste un sang-froid implacable que je ne m'expliquais pas ou peut-être une totale indifférence ? Perdu dans mes pensées je ne vis pas venir le premier coup qui m'atteint au flanc , le souffle coupé et une cote brisé je continua à courir me retournant de temps a autre voyant les torches de mes poursuivant . Je tombais , le précipice était apparu comme par magie j'entendis les hurlements de frustration des hommes et finalement plus rien le noir totale , encore .

Je me réveilla en plein jour , mon corps n'était que douleur ; je ne bougeait pas ou plutôt je ne le pouvais pas .Comment avais-je survécu a cette chute ? La chance comme d'habitude me dis-je . Comment cela comme d'habitude je ne me souviens de rien pensais je alors , un simple réflexe de mon cerveau , une phrase que je lancais machinalement dans mon ancienne vie ? Peut-être . Un torrent s'écoulait en contre bas de mon point de chute et ses eaux m'avaient déposé à moitié mort sur la rive opposé . Des heures passaient , et mon corps ne répondait toujours pas , mon esprit n'étaient pas dans un meilleur état . C'était troublant je ne ressentais rien comme si ma mémoire ,ma personnalité , en somme mon humanité m'avait été retiré . Je me mis enfin a bouger , mon premier réflexe fut de constater l'étendu des dégât de mon corps . Ma respiration était lente et douloureuse ,cette côte me fera souffrire quelque temps pensais-je , je regarda ensuite mes pieds , mes jambes et mon buste ; les blessures avaient déjà commencé a se refermer ! J'était des plus perplexe et pourtant cela me paraissait parfaitement normal ,peut-être les villageois avaient-ils raisons ."Un démon"dis-je à haute voix cela me faisait doucement rire . Je décidai de me laver , en approchant de l'eau je put y distinguer mon reflet et pour la première fois je vis mon visage . Mes yeux me paraissaient clair sans doute bleu , une cicatrice cruciforme était taillé sur ma joue gauche , mes cheveux étaient roux et m'arrivait dans le dos , mon visage était très fin presque efféminé mais la force de mon regard et mon expression dur démentant le contraire. J'était de petite taille plutôt mince . "Une vrai fillette " dis-je pour me moquer de moi-même enfin je n'avais pas a me plaindre mon physique était par ailleurs très différent de celui des hommes de Lungdum . Je me mis finalement en route la survie ne devait pas être mon point fort car je ne trouvais presque rien à manger et j'avançais maintenant en rampant . Combien de lieu ais-je parcouru 10,100 ? Aucune idée je perdais le compte des heures m'évanouissant régulièrement du fait de ma mal nutrition et des efforts que je demandais à mon corps.Des jappements me réveillèrent une nuit de pleine lune , un louveteau était a coté de moi et semblait perdu , je le pris dans mes bras pour le consoler il me laboura tout d'abord la poitrine avec ses griffes puis se calma et s'endormi avec moi . Au petit matin je retrouvai mon compagnon blotti dans mes bras sa chaleur m'avait aidé a supporter la nuit , je me remis en route . Ces bois étaient très accidenté et toute progression était difficile , nous passâmes devant une grotte d'ou sortirent des grognements qui me firent passé mon chemin le plus vite possible . Je senti alors un puissant choque dans le dos qui me fit tomber à la renverse et m'assomma.
Je me réveilla dans un lit . Que faisais-je la ? Aucune idée mais la bonne fortune m'avait souri encore une fois et je n'allais pas m'en plaindre . Des habits bien étranges par rapport a ceux des villageois étaient déposé sur une chaise . J'essaya pendant quelque minute de les mettre sans succès et alors que je pensai à autre chose par pur réflexe je me retrouva habillé . Avais-je déjà porté des vêtements de cette sorte dans la vie que j'avais oublié ? Inutile de me torturer l'esprit je n'aurais de réponse que le silence de mes souvenirs manquants.
Des entrechoquement de métaux me parvinrent , il faisait beau ; je sorti .
"Tu guéris vite , trop vite " dit une voix masculine dans mon dos . Je me retournais et vi pour la première fois mon futur maître .

A suivre .

CHAPITRE DEUX

L’homme devant moi était bâti comme un athlète , plus grand que moi , ce qui après tout n’était pas difficile . Ses muscles étaient d’une saillante extrême comme si chez lui tout n’était que force . Son regard démenti aussi tôt cette pensé ,un regard plein d’intelligence ; ma main droite tremblait , mon corps était comme paralysé . Mes yeux se posèrent sur cette main , la perplexité m’envahi . Mon corps avait-il peur de lui ? Oui mais pas moi , cette sensation était des plus étranges comme si mon âme avait été déposé dans un corps qui n’en avait plus ? Je releva les yeux vers l’inconnu . Un rictus apparu sur ma bouche . « Si je suis un démon , qu’est il ? » pensais-je en ricanant . Je soutins ce regard un long moment puis la pression presque palpable qui s’en dégageait s’estompa pour laissé place à une douceur que je ne lui aurais pas cru capable .
« Je me nome Seijuro Hiko , je vois que tu ne te laisse pas impressionner facilement ; c’est bien , très bien . Suis-moi » me dit-il en souriant . Je m’exécuta .
Les chocs que j’avais entendu ne venait pas de l’extérieur mais d’un autre bâtiment. Il me fit passé devant , je me déchaussa et lui demanda a quoi servais ce bâtiment .
-« Tu le sauras en y entrant . Pourquoi t’es tu déchaussé ? » me demanda-t-il avec un sourire malicieux .
-« Je ne sais pas , une vague impression , un réflexe si vous préférez » Il m’observa quelque instant et éclata de rire .
-« Tu es quelqu’un d’étrange ceci est un dojo , tu as fait ce qu’il fallait entre à présent. »

Deux jeunes gens s’entraînaient aux armes , celle ci étaient de bois . D’ou venait les bruits qui m’avait réveille ? J’avais l’impression de perdre pied et de me noyer dans un océan de folie . « C’était des voleurs , ils s’en prenaient à l’un de mes élèves . Je les ais fait détaler ne t’inquiète pas » . J’étais interloqué , pouvait-il lire les pensées ? Non , c’est autre chose mais je n’arrivais pas à mettre le doigts dessus . Cette homme était décidément des plus étranges .
« En fait , tu ne gardera aucune cicatrice sur tes jambes ou ton buste . Ta cote est déjà ressoudé ,je ne sais comment par contre tu gardera à vie la trace de brûlure qui est dans ton dos » Il s’interrompit un instant et se moqua ouvertement de moi . « Elle a une forme d’oiseau peut-être un phœnix le destin a l’air de se jouer de toi. »
-« Ca fera une de plus . » dis-je en repensant à celle que j’avais déjà sur la joue . Ma main se posa dessus , elle était profonde , plus que je ne l’avais imaginé .
« Quel est ton nom ? » me demanda la jeune femme tout à coup . Je ne mettais même pas aperçu de la fin de leur entraînement .
-« Je crains de ne pas en avoir »
-« Bien sur que si ! Tout le monde en as un ! » , elle me paraissait d’une infini naïveté , je la contempla quelques instant elle était belle sans doute désirable et pourtant elle me laissai froide comme une roche sur qui tout s’écoule sans jamais l’altérer .
C’est ainsi que commença ma formation au prêt de maître Hiko mais je dois cesser de vous narrer ma vie et passé au chose réellement importante , celle du véritable héros ou maudit ? de cette histoire mon compagnon , mon frère ; bien plus que cela en fait .


Mes yeux s’ouvrirent lentement , une confusion inexpliqué me tenaillai l’esprit . Je m’aperçu bien vite que j’etais en plein milieu d’un gigantesque incendie de foret . Je regardais mes mains qui devait , le pensais-je alors , être couverte de brûlure et de cloque , mais ce n’était pas le cas . Ma peau était pale comme l’albâtre rien ne semblait l’atteindre. Je traversa la fournaise en marchand comme si je faisais une promenade , je voyais à coté de moi des bêtes agonisés . Leur corps étaient parcouru de spasme et leur poils étaient en train de roussir , une odeur de brûlé insupportable me monta aux narines ce qui provoqua chez moi une nausée . Je m’essuya négligemment le coin de la bouche avec mon bras puis me releva pour repartir . Mon voyage a travers ce pays de flamme dura une journée complète , je sorti du feu pour tomber directement dans son élément opposé. Une petite rivière avait stoppé l’incendie je failli m’y noyer en m’y tordant de douleur car mon dos était en feu . Etais ce la contrepartie a ma résistance au feu ? La douleur s’estompa , je remontais à la surface mes poumons se remplirent d’oxygène en expulsant l’eau qui y avait élue domicile . Je m’endormi épuisé sur ses rives . Dès mon réveille , je me remis en route . Une petite heure de marche plus tard , la forêt s’ouvrait sur une clairière qui ressemblait fort a un emplacement de camp pour voyageur , rien avait été laissé . Je repris ma route vers le Sud un chemin avait été tracer a force d’aller et retour . Cela faisait maintenant deux jours que je marchais il n’y avait pas âmes qui vivent sur ce chemin . Mon corps ne ressentais pas la faim ou était-elle omniprésente ce qui expliquai que je ne la remarquai pas ? Les questions en tout genre se bousculai malheureusement je ne pouvait pas les apaiser .
« Quel joli petit cul ! » Je fis volte face , un homme et une femme sortirent des sous bois .
« Mais l’avant n’est pas mal non plus ! » dit elle de sa voix criarde tout en souriant ; toutes ses dents étaient pourries .
« Il a rien sur lui laisse moi jouer avec s’il te plait !!!! » Son compagnon haussa les épaules et fini par acquiescer . Il approcha et tomba , sans même m’en être rendu compte , j’avais porté un puissant coup directement dans sa trachée , l'homme se noyait maintenant dans son sang . La femme dégaina un long couteau et chargea , mon pied rencontra sa cage thoracique juste au plexus solaire , elle s’écroula . « Mais comment ? » dis-je à haute voix . Pour la première fois depuis quelque jour un trouble apparu son mon visage qui était resté jusqu’alors impassible. Je regardais d’un autre œil mes membres , ils n’étaient plus que de la chair , du sang , ou des os mais des armes cela me réjoui je ne saurais dire pourquoi mais j’étais sur que cela me serait utile . Je m’habilla des vêtements du défunt voleur , pris leur bourse ainsi que deux long couteaux puis j’envoya les cadavre en pâture au charognard dans la foret .
Je m’éloignai à grand pas dans la nuit .

A suivre

Chapitre 4 :

La fuite , encore et toujours ; depuis quelque temps cela devenait une habitude . « Et tout cela à cause d’une enfant ! » fis-je contrarié . Aboiements et cris me poursuivaient . Ces hommes d’armes étaient plutôt tenace , si seulement je n’avais pas mis les pieds dans cette ville qui étaient sous la protection de l’Ordre des Chevaliers de l’Aube !
Cette fillette était passé à coté de moi avec un plein panier d’orange . Un homme l’avait bousculé , les fruits s’étaient éparpillés . Pourquoi avais-je réagi ainsi ? Je ne le savais pas , une survivance de mon ancienne personnalité ? Un meurtrier au grand cœur , quel absurdité !
Ce rejet ne pouvait en aucun cas changé cet instant , la fillette qui était sauve pleurait dans le sang de l’homme et d’une dizaine de garde . Plutôt faible cette ordres de chevalier pensais-je en souriant . Puis était arrivé le commandant de l’ordre , un grand homme avec une barbe et des cheveux long , il portait une cote de maille blanche et se débrouillait a l’inverse de ses soldats remarquablement bien à l’épée ; cela ne m’avait pas empêché pour autant de le blessé à de multiple occasion .
« Commandant Akkion . Laissez nous abattre ce chien pour vous ! » Je n’avais pas entendu le régiment arrivé dans mon dos . Le commandant remonta dans mon estime même si il ne m’avait pas battu , il avait su accaparer mon attention assez longtemps pour permettre à ses troupes de me contourner . Je lui souris et disparu sur un toit .
La chasse avait démarrer en un temps record . Leur organisation n’était pas si mauvaise après tout .

Quels étranges sensations qu’avaient été les miennes pendant ces trois jours , les hommes que je croisaient tremblé de peur ; ils dégageaient une odeur si familière et pourtant je n’arrivais pas à la saisir .Le moindre bruit les faisaient sursauter, moins des chasseurs que des proies , et pourtant ils continuaient à avancer . Au soir du troisième jour , ils se retirèrent à la suite de l’appel d’un cor , leur courage aurait pu être admirable mais la force leur faisait défaut .





Je stoppa la lame de la main droite et la brisa . Son possesseur complètement déstabilisait par ce qui venait de lui arriver tomba à la renverse . Je lui tendis la main , il l’as pris et à son tour m’envoya au sol . Il éclata de rire « quand as-tu appris cette arcane en fait ? »
« Depuis quelque temps . » Nous , nous relevâmes et échangeâmes un sourire .
« Je n’aurais jamais pensé que tu étais si fort , pourquoi n’utilises-tu pas ton sabre ? Tu es beaucoup plus impressionnant avec ! »
« C’est toi qui est trop faible imbécile ! » Joona avait surpris notre conversation et ils commencèrent à se chamailler .
J’étais arrivé depuis presque six mois à présent , mes sensations étaient revenu au contact des habitants du dojo , j’étais heureux . Maître Hiko m’avait entraîné dans les arts du sabre , de la traque et de la survie . J’étais devenu un excellent rôdeur même lui avait du mal à me suivre , pour ce qui était de la force brut et du combat au sabre j’étais loin de son niveau .Ma gentillesse retenant mes coups je ne pouvait le battre m’avait-il dit , c’étais pathétique . Cela m’avait blessé mais après tout peut-être étais ce vrai , le dépassé ne faisait pas franchement parti de mes objectif . Je le regretta amèrement dans les jours qui suivirent .

« Encore perdu dans tes rêves ? » fit la douce voix de Camille .
« Avez-vous fini de vous battre avec Toshi ? »
Elle me fit un clin d’œil , il avait donc encore perdu , cela m’amusait car il le faisait exprès et malgré toute ces années , elle ne s’en étais pas encore aperçu . Elle s’approcha de moi , me frôla et voulu m’embrasser comme d’accoutumé ces lèvres rencontrèrent de l’air .
« Ne m’aimes-tu donc pas ? Elle faisait la moue .
« Bien sur que si mais pas comme tu l’entend , je suis attaché à toi mais mon cœur est ailleurs , c’est l’impression que cela me laisse . »
Elle s’enfuit en pleurant , il étais difficile de vivre après tout , mon cœur m’oppressa . Je me détestais . Le repas du soir fut étonnement silencieux , Hiko resta muer même si il se doutais de ce qui c’étais passe .
« Demain tu viendra avec moi , il faut que tu sortes un peu de cette retraite tu ne peut rester tel un ermite ici , connais-tu Konoha ?

A suivre

Chapitre 5 :


La demi journée qui nous séparait de Konoha passa relativement vite , Camille et Toshi gardaient le dojo ; le voyage , ponctué de rencontre ; m’embarrassait horriblement , chaque voyageur croisé s’écartait de notre chemin tout en s’inclinant légèrement cela se solda bien évidemment par quelque incident notamment un jeune bûcheron qui perdit l’équilibre et dont toutes les bûches s’éparpillèrent au sol . Je me précipita pour l’aider mais Hiko me retint . « Laissez maître . Je me débrouillerais , ne vous inquiétaient pas merci ! » Le pauvre garçon avait l’air complètement perdu et gêné . Mon visage se durci , pourquoi m’avait-il retenu ? Je l’interrogea du regard mais il me fit comprendre que ce n’étais pas le moment . Lorsque je fut enfin hors de porté de voix , je me bloqua devant mon maître et lui demanda « Maître , pourquoi m’avoir retenu et que voulait il dire par maître en s’adressant à moi ? Etes-vous insensible au point de les ignorer et de les considérer comme du bétail ? » Son sourire comme à l’accoutumé me déstabilisa , une douche froide qui calmait mes ardeurs . Il avait le don pour me faire sortir hors de mes gond comment arrivait-il à jouer ainsi avec mes sentiments ? Et pourtant je n’arrivait pas à me mettre en colère contre lui .
« Comme d’habitude tu poses de nombreuse question et tu t’enflammes , si seulement tu mettais autant d’énergie au kendo ! C’est une belle journée et nous avons le temps après tout. » Il avait été le plus grand soutien du shogun actuel . Lors des grandes invasions , il avait protégé le pays durant sept longue années pour finalement repoussé les barbares . Un complot à la cour le destitua de ses fonction de grand maréchal , il avait fui et vivait en ermite . Son rival ne l’avait jamais traqué , le shogun le lui avait interdit . Ce dernier lui avait secrètement donné le dojo ou mon maître avait recueilli deux orphelins qu’il avait formé avec passion . La vie s’écoula tranquillement puis un matin une louve qu’il avait jadis délivré d’un piège avait ramener un homme agonisant , en moins d’une semaine il était rétabli et l’avait largement dépassé à présent.
« Qui était-il ? »
Son éclat de rire fit envoler tout les oiseaux des environs , il me tapota sur l’épaule .
« Mais … »
« Tu es complètement carré ma parole ! Ne rajoute rien , je sais pertinemment ce que j’avance, tu es encore trop jeune mais le jour ou tu ouvrira la porte plus personne ne t’arrêtera . »
Quelle image étrange , je ne la comprenais pas mais il ne voulais manifestement plus parler de cela .

Nous entrâmes dans Konoha. « Que faisons-nous ici maître ? »
« Quelques achats . » Il n’était guère bavard et marchait d’un bon pas , je n’avais pas à me soucier de percuter une quelconque personne puisque la foule s’écartait devant nous ou plutôt devant lui . Mais en fait pensais-je brusquement , Hiko avait éluder l’une de mes questions tout en me narrant sa vie . Je me mordit la lèvre , une perle de sang coula sur ma langue . Je n’étais décidément pas à la hauteur , il faisait de moi ce dont il désirait .

Je bouillonnais . « Suis-je une mule !? »m’écriais-je . Depuis notre arrivé , il n’avait cessé d’acheter des denrées de toutes sortes et me les faisait porté .
« Tu n’es pas mort , tu marche encore , cela renforcera tes jambes , tes bras bien trop chétif ainsi que ton esprit . Ne te plain pas tu ne trouvera pas meilleur maître. » Une fois de plus le silence fut ma seul réponse . Il nous restait encore une chose à faire , j’allais exploser et avançait sans le regarder . Il me saisi par le colle du kimono ce qui bloqua mon mouvement et provoqua la chute de la totalité des paquets . Mon poing parti , il ne le remarqua pas ou du moins me le fit croire , je le manqua alors qu’il semblait ne pas avoir bougé . « C’est ici , rentre avec moi . » La pancarte indiquais « forge ».
« Viens-tu chercher ton sabre ? Tu ne t’en souvient peut-être pas mais cela fait six mois que tu vis avec nous , un guerrier sans son sabre n’est rien , regarde si il te convient . »
Je regretta amèrement mon geste de l’instant , cette journée passait ici n’avait eu pour but que cette achat qu’il avait dissimulé permis les autres . Une lame droite , la finition était parfaite , il s’adaptai a merveille à ma main , un chef d’œuvre !
« J’y ais mis mon âme et mes tripes , une minorité peuvent se targuer de posséder un sabre de cette qualité . Ah oui ! Autre chose , mes lames ont la réputation d’être maudite , tout leur possesseur sont mort , prenez garde à vous . »Nous repartirent sans un mot , ceux ci restaient coincé au fond de ma gorge . Je ne savais que penser de cette avertissement , la superstition ne m’effrayait guère . En sortant je ramassa nos emplettes de la journée après avoir fixer mon sabre et son fourneau sur mon flan gauche puis nous reprirent la route mais cette fois la je ne protesta pas .
Une agitation inhabituelle régnait dans la rue principal , des centaines de tract volaient de ci , de la . Hiko en attrapa un au vol , sa mine s’assombrit . Le shogun était mort , le grand maréchal tiendrait l’intérim pendant dix ans jusqu’à la majorité de l’héritier . Mais cela voulais dire que …
« Maître ! »
« Je sais , je sais très bien ce que cela implique mais ne t’inquiète dont pas , il ne me trouvera pas . » C’est alors que ma vue se troubla , une rage et une haine sans borne surgit en moi , l’univers perdit en netteté , hommes , femmes , enfants , tous n’étaient plus que des taches qui n’avaient à mes yeux aucune importance . Une lumière tel celle d’un phare m’éblouit , un soldat rouge vif se situais à quelque pas de moi , mon corps sans la moindre sollicitation se dirigea vers lui , deux lueurs plus faibles étaient à ses cotées , une fillette ainsi qu’une femme .
Calme-toi . Ils ne t’ont rien fait . J’essayais tant bien que mal de contenir cette déferlente , j’allais les tuer si je ne résistai pas a cette folie meurtrière . Une main se posa sur mon épaule « Et bien que fais-tu ? » Je détourna la tête , mon maître fit brusquement un bon en arrière et posa la main sur la garde de son sabre . « Que t’arrives-t-il ? Qu’est-ce que cette envie de tuer ? » Mon attention se reporta sur la petite famille qui avaient retrouvé ses couleurs originelles , tout haine avait disparu .
« Je me demande parfois si j’ais bien fait de te recueillir , il faudra que nous ayons une petite discussion. » J’acquiesça , l’adrénaline qui avait emplie mon corps disparaissait pour faire place à un remord et un honte mortelle .
Ma nuque me picota , quelqu’un m’observait , je ne mis pas longtemps à croiser son regard . « Un ninja » soufflais-je . Grand et pale , il se déplaçait avec légèreté . Pas un son n’émanait de sa marche , les femmes pouffaient d’aise en le croisant . Nos regard ne se quittèrent pas un instant , ses traits m’étaient familier , une sensation de déjà vu se dégageait de lui .

Chapitre 6 :


Tout se passa si vite , le sang , les cris et les larmes se mélangeaient en cette journée d’été . Ses yeux avaient changé de couleur du bleu foncé , ils étaient devenu rouge ! Il s’élance à une vitesse folle et nous dépassa en se dirigeant vers le soldats . Mes paquets touchèrent le sol en même temps que les tripes , l’homme avaient été éviscérer . Il murmura quelque chose à son agresseur que je ne put entendre . De sa deuxième lame ,il égorgea la femme ; son pied s’abattit sur la nuque de l’enfant , je le stoppa ainsi que la première lame mais je ne put empêcher la seconde d’accomplir son destin . La fillette bascula en arrière , je la rattrapa , elle avait été transpercé de part en part malgré cela peut de sang s’écoulait de la blessure . Le meurtrier hurla , ses deux mains lui enserraient le crane , tout comme la fillette il soufrais et tout comme elle , il hoquetais . Je la déposa puis me dirigea vers lui . Un bruit sourd suivi d’un pression qui était une véritable déflagration retentirent , je fut propulsé contre le tronc d’un chêne . Un rire de dément me ramena à la réalité , son visage était hystérique un sourire sadique et une aura meurtrière émanait de lui . Il me défia du regard tel un oiseau de proie regardant un insecte , nos lames s’entrechoquèrent ; rapidité , force , tout chez lui étaient démoniaque , a chaque engagement une entaille apparaissait sur ma peau . Je l’avais blessé par trois fois mais je n’étais plus qu’une plaie béante ; nos niveaux étaient trop différents ! Nos deux charges furent violentes et sans aucune retenu . Sa lame pénétra ma chair pour se stopper à quelque centimètre de mon cœur , de sa gorge perlaient des gouttes de sang , un mouvement et je l’égorgeais , un mouvement et il me transperçait le cœur . Combien de temps dura cette situation ? Je ne le sais pas mais je ne lui cédait pas un pouce persuadé que cela me serait fatal .
« Tu t’es amélioré mais ton réveil ne s’est pas encore produit , bientôt , très bientôt nous nous retrouverons . »
Je relâcha mon attention un court instant ce dont il profita pour me défoncer la cage thoracique avec un coup de pied d’une force phénoménal . J’en eut le souffle coupé , il m’avait littéralement brisé toute les cotes .
« Ne t’inquiète pas dans moins de deux jours tu sera sur pieds. »me fit-il en ricanant .
Je me releva , il me tournait le dos . Ma vue n’étais pas troublé et pourtant je me refusé de croire ce que je voyais . Un phœnix étais gravé dans son dos , des flammes léchaient et semblait provenir de cette plaie .
« qui êtes-vous ? Me connaissez- vous ? »avais-je lentement articulé . Il sembla étonné de me voir debout .
« Tout ceci tu le sais et tu t’en rappellera , mon nom est Saico . Je t’attendrais , tu ne te dérobera pas je le sais bien . »
Il disparu en souriant , son visage semblait reflétais une joie réelle mais c traits déformé par la haine donné à ce sentiment un caractère obscène et vicié .Ces paroles étaient obscures mais il était claire qu’il me connaissait dans cette vie ou dans une autre . Mes jambes tremblaient et étaient sur le point de ne plus supporter mon propres poids .
« Pourquoi n’avez-vous rien fait pour arrêter cette homme ? Il est égarer et ne sait plus ce qu’il fait . Ce n’est rien d’autre qu’une bête assoiffé de sang ! »
Il retira son bras , mes jambes cédèrent .
« Tu t ‘es impliqué directement , je ne pouvais rien faire , c’est ton combat pas le mien ! » Il avait l’air furieux .
« De plus la fille est vivante . »
« Pardon ? »
« Il l’as épargné , aucun de ses organes vitaux n ‘as été atteints . Seul un peu de chaire a été tranché , une grande connaissance du corps humain ainsi qu’une maîtrise sans faille dans l’art des armes a été nécessaire pour accomplir ce miracle . Il est égaré certes mais il n’as pas agi sans raison , son raisonnement nous échappes mais il serait dangereux de le sous-estimer et le prendre pour un simple malade mentale d’ailleurs …….. »
Sa voix faiblissait , mes yeux se fermèrent malgré tout mes efforts et je finis par m’évanouir .



Mes blessures s’étaient refermé le jour même ainsi j’avais pu suivre le maître d’armes et Tycot jusqu’au dojo caché . Mes souvenirs me revenait petit à petit depuis cette journée , un point de non retour avait été franchie , j’en avais conscience mais ne m’en souciait guère après tout nous avions choisi cette voix . Cela remontait déjà à cinq ans , ma détermination n’en été pas moins forte . Nous serions traqués , à jamais considérer comme des assassins , alors que nous n’étions finalement que le résultats de l’histoire , ils nous avaient crée ! Notre nation étais un petit Etat orientale constitué de quelque milliers d’âmes , nous disposions d’une puissance militaire sans pareil . Médecine , combat , stratégie , nous étions avant-gardiste dans tout ces domaines ce qui attirait naturellement l’avidité des pays limitrophe . J’étais un master ninja à l’époque , j’avais sous mon commandement quelques un des plus redoutables guerriers du pays , nos taches diverses passaient aussi bien par l’assassinat que l’espionnage ou le sabotage .Les champs avaient brûlé lors d’une attaque surprise par un chaud après-midi de printemps , nos ennemis ne disposait certes pas de nos moyens mais ils étaient cent fois plus nombreux . Notre stratège étais l’homme qui avait comme moi tout abandonné . Nous étions de vrai prodige pour nos ages , il en avait 19 , j’ en avais 20 . Calme et sagesse se lisait en lui , au sabre il excellait mais son tempérament l’empêchait de vaincre car il ne se battais pas pour vaincre mais pour protéger . Cette faiblesse étonnement ne transparaissait plus lorsqu’il était à la tête de nos armés . J’étais sa force et son bouclier , il ne me considérait pas comme un garde du corps mais comme un ami et son mentor , nous goûtions ensemble au joie de la victoire . Son caractère humaniste à l’extrême le faisait souffrir de son rôle , il respectais la vie et avait de la compassion pour ses adversaires mais rien de cela n’étais montré ; notre peuple avait mis tout ses espoirs en cette homme ce qui le faisait déprimé régulièrement dans ces cas la nous passions la nuit à discutais et je le réconfortais en lui parlant de ma fille . Je m’étais marié à l’age de 15 ans avec une master ninja tel étais la règle mais je ne l’aimais pas , une simple tendresse nous liait mais la guerre avait tout détruit .
Tycot lors d’une des réunions de guerre avait pris la parole un long moment pour finalement s’attirer les foudres des membres de l’assemblé .
« Il est claire que nous ne tiendrons pas , nos moyens sont trop insuffisants pour faire quoi que se soit . Les pièges que j’ais mis en place devrait faire quelque centaines de mort tout au plus et les ralentirent considérablement mais je ne peut faire de miracle . Rappelez-les soldats à la capital afin qu’ils passent une nuit avec leur famille et au petit matin , ils mettrons fin à la vie de leur proche avec tout l’amour qu’ils pourront leur offrir puis nous mourrons l’épée à la main non sans emmener bon nombre de nos assiégeant avec nous . » Il s’en alla , je le suivis . Jamais cette proposition ne fut relever à la population , elle m’écœurait également .
« Pourquoi ? Pourquoi as-tu dis cela ? N’as-tu donc aucun cœur ? »
Son regard me transperça le cœur , une tristesse infinie émanait de cette être chétif .
« Que feront-ils à ta femme et à ta fille ? »me demanda-t-il .
« « Arête ! Elle n’as que cinq ans . Jamais … »Il me coupa
« Bien sur que si ! Déteste-moi si tu veux . Je nais jamais dit que cela serait facile à faire , moi même j’aime quelqu’un et je suis terroriser à l’idée de la perdre , si le don de ma vie pouvait la sauver je le ferais sans hésiter mais ce n’est pas le cas . Laisse moi à présent , j’ais bien d’autre choses à faire et toi aussi . » Je m’en alla retrouver ma famille et le laissa seul . Comme à l’accoutumé , je rentrais à la maison en souriant . Joona se précipita dans mes bras . « Papa ! Papa ! Alors on va battre les méchants ? »
« Bien sur ! Mais que fais-tu debout à cette heure ci ? »
« Je t’attendais ! »dit-elle toute penaude .
« Merci petit cœur , je t’aimes . Va dormir à présent . »Elle coura tout en riant jusqu’à sa chambre . Ma femme entra dans la pièce .
« Que t’arrives-t-il ? Pourquoi as-tu l’air si triste ? »
« Rien , rien du tout , ne te fait pas de soucie pour moi . »
Ma femme s’était beaucoup affaibli depuis son accouchement , elle n’avait plus la force d’être ninja ,je l’emmena se coucher . Elle s’endormit peu de temps après avec Joona dans un sommeille éternelle . Je les pleura jusqu'au petit matin .
Ma tenue de combat enfilé , je parti à la recherche de Tycot afin de le protéger pour cette dernière journée . Quelle ne fut pas ma surprise de voir son siége occupé par un porc de la pire espèce . Ce lèche-botte ne comprenait rien à l’art de la guerre ! La débâcle n’en serait que plus rapide , notre civilisation disparaîtrai dans la risée général pensais-je amèrement . Et je devrai me sacrifier pour lui ! Pas question , ou étais Tycot ? Il ne pouvais avoir fui ! Pas lui ! Mon amie , mon frère .
« Monseigneur laissez moi partir en éclaireur dans la ville afin d’éliminer toute oppositions qui se dirigeraient vers votre seigneurie ! »
L’homme me toisa quelque instant grogna un oui et fit un petit geste de la main afin de disposer comme il l’aurait fait à un esclave !
Tout en lui me rendait malade , il avais pris position dans le château afin d’avoir une vue d’ensemble avait-il dit . Les ordres n’en serait que plus long mais lui ne risquait rien . Ou étais passé l’époque ou tycot était en plein milieu des batailles pour faire réagir au plus vite notre armé ? pensais-je mélancoliquement .
Nous offrions nos vie sur un plateau . Les premiers combats avaient débuté au levé du soleil , une mer humaine entouré la ville et se fracassait dessus par vagues successive . Des clameur attirèrent mon attention sur le mur Nord , avait-il déjà pris pied sur nos murailles ? Je m’élança pour porter secours au dernier survivants . Du sang dégoulinais dans les escaliers et sur les échelles pour accéder au chemin de ronde la ou se faisait le gros des combats . Les bruits d’agonies se faisait de plus en plus rare et laissait maintenant place à un silence de mort . Une cinquantaine d’homme gisait à terre , ce pan avait été oublié dans les plans de notre très chère stratège ce qui avait eu pour conséquence la présence d’un seul groupe d’hommes alors qu’il en fallait dix fois plus . Une cinquantaine de guerriers gisaient à terre et au milieu de ceux ci un homme se tenait tel un dieu de la guerre , sa chevelure rousse était recouverte d’un sang poisseux , des plaies recouvraient son corps mais rien de sérieux heureusement .
« Pas trop tôt ! »me fit-il en souriant « Je t’ais attendu un moment . Mourrons ensemble si tu le veux bien . »
« Ce sera un honneur ! Pardonne moi . »
« Il n’y a rien à dire , tu as pris la bonne décision ne te tourmente pas . »


Alors que la ville était en flamme , nous tenions notre mur sans rien céder . Je n’avais jamais vu autant de fureur et de folie en cette homme , sans aucune retenu il tuais , se n’étais plus le même . Une épée se planta soudainement dans son flanc droit suivi d’une autre , son dernier sourire me fis frémir , une masse me brisa la colonne vertébrale et l’ont m’enfonça une épée jusqu’à la garde dans le thorax . Nous furent transportés dans le camp de nos ennemis puis nous furent jeté au pied de leur chef alors que la vie s’écoulait lentement mais inexorablement hors de nos corps .
« Quel pathétique résistance , tout étaient depuis le début arrangé , vous ne pouviez pas mourir tout simplement ! Etais-ce trop difficile ? » Notre shogun sortit de la tente ennemi et vint se placer à sa gauche , il souriait , Tycot était livide .
« Tu n’avais pas prévu cela fils de chien ! Consume-toi , haïe moi et brûle en enfer mais avant de te faire ce privilège soufre ! Ma fille s’est donné la mort pour toi ! Le savais-tu ? Elle est tombé éperdument amoureuse de toi mais tu l’as ignorer . Tout est de ta faute ! »Un coup de pied percuta le ventre de mon ami , un hématome rouge faisait déjà son apparition .
« Emmenez-le et amusez-vous donc avec ! » Il fut traîné dans une tente d’ou sortirent quelque instant plus tard des cris d’agonie de terreur et d’humiliation . Que pouvait-il bien lui faire pour qu’il soufre ainsi ?
« Tu veux le savoir ? Et bien regarde ! » On me fit tourner le visage vers un groupes d’hommes . Ils abusaient d’un corps complètement désarticulé , c’étais un enfant . Son visage apparut . « Joona ! Joonaaaaaaaaaa !!! » Une haine sans nom brûlante tel de la lave en fusion se déversa dans mes veines , un désir destructeur qui aurait tout réduit en cendres si il avait pu se manifester . Ils me forcèrent à regarder et à écouter . Mon sang s’écoulait toujours mais bien moins vite , ils nous avaient bandé afin de nous maintenir en vie . Tycot fut ramener sur la place , les hommes qui l’avaient torturé lui envoyèrent des clins d’œil puis éclatèrent de rire . Il balaya la foule du regard et nombreux furent ceux qui reculèrent . Nos yeux se croisèrent et j’y vis le reflet de mon propre regard haineux et remplie de folie . Nous furent brûlés vif .

Dans le délire de notre souffrance , j’appelais à l’aide , je voulais qu’on vienne , n’importe qui implorais-je . Je voulais ma vengeance , je voulais survivre pour leur faire payer , pour les faire souffrire et les plongés dans l’enfer dans lequel ils nous avaient précipités . Nous ne hurlâmes pas , nous ne pouvions leur donner satisfaction ; ma peau brûlai , des lambeaux s’en détachaient , mes cheveux avaient disparu et chacune de mes inspirations était une torture , les flammes s’engouffraient dans ma gorge et faisait fondre mes poumons . « Regarde moi . » murmura une voix , je ne réagis pas . « Regarde moi ! » rugit elle . Ma corné brûlait m’avait rendu aveugle comment voulait-il que je le voix pensais-je furieux .Un oiseux de feu apparut dans mon esprit , magnifique , puissant , énorme constitué de flamme noir il me semblait tout puissant . « Voulez-vous survivre ? » Je hocha la tête , mon crane roula dans la mer enflammé après s ‘être détaché de mon cou . Comment pouvions-nous être en vie alors que nos corps étaient mort ? C’étais lui bien évidemment , nous étions comme deux singe dans la paume de bouddha , complètement à sa merci .
« Que m’offrez-vous en échange ? »
« Tout ! Nos âmes , nos sentiments et souvenirs mais laissez nous notre rancœur et notre haine ! » cria Tycot .
« Tant que cela ! »ironisa le faucon . « Votre but ? »
« Abattre tout les êtres présents aujourd’hui dans cette bataille , les faire sombrer dans la folie , nous nous vengerons sur leur familles , sur toutes les connections que nous pourrons entrevoir ! » répondis-je .
« Une tache ardu ! Chaque personne que vous tuerez viendra en mon royaume ou il souffrira de mille mort de torture dans un éternelle recommencement ! Un marché des plus équitables il me semble . » Nous acquiesçâmes .
« Que cela soit fait ! » Le phœnix disparu dans une explosion de flamme et de magma .

Chapitre 7 :

Je me réveilla au petit matin dans l’arbre d’ou j’avais décidé d’observer le dojo , il faisait bon les doux rayons du soleil réchauffais mon visage , j’avais mal supporté la nuit , des souvenirs longtemps oublié avaient refait surface et le froid m’avait tenaillé toute la nuit . J’avais dormi par à-coups mais étonnements le rêve le plus intense n’avait pas été coupé . Je fut contraint de changer de poste d’observation après celui-ci , en effet , l’arbres et ses environs immédiats avaient été détruits je ne sais comment pendant mon sommeil ! Mes membres me faisaient souffrir , les avais-je abattus à mains nu ? Je ne m’étonna même pas d’avoir les armes à la main , ma colère étais à son paroxysme comme il y as cinq ans lors de notre mise à mort ou étais-elle encore plus grande ? Calme toi pensais-je , il te faut l’attendre , vous êtes lié et n’êtes rien l’un sans l’autre . Patiente , son réveil arrivera suffisamment vite . Froid comme une tombe , je me contentais d’observer complètement indifférent les habitants du dojo qui s’étaient levés peu après moi . La matinée aussi insipide que l’après-midi passa trop lentement à mon goût . Dans qu’elle état était-il ?L’avais-je surestimé ? Au matin du deuxième jour quel ne fut pas ma joie de le voir sortir du dojo ! Son corps était recouvert de bandes , il boitait légèrement mais paraissait bien pour quelqu’un qui était à moitié mort la veille .
« Etonnant , vraiment étonnant mais je n’en attendais pas moins de toi . »murmurais-je heureux .
Le troisième jour il reprenait déjà l’entraînement et le quatrième tout bandages avaient disparu . Le lendemain , il parti en excursion vers la montagne ; malgré son allure rapide tel un fantôme, il ne laissait aucune trace sur le sol ,je ne pouvais donc le quitter des yeux sous peine de le perdre . Un murmure lointain se transformant en grondement assourdissant au fur et à mesure que nous nous en approchions me fit commettre une erreur . Une branche sur la quel j’avais sauté , était vermoulu et pourri . Elle s’effondra sous mon poids , je me rattrapa lestement à une autre et ne bougea pas , Tycot n’avait rien remarqué heureusement . Nous arrivâmes à une cascade , il se dévêtit et alla se placer sous la chute d’eau . Je restais interdit devant ce spectacle incroyable , l’homme contre la toute puissance de notre mère nature . Il n’avait guerre changé toujours aussi fluet , le même maintient , la même cicatrice sur la joue , une autre identique à la mienne avait fait son apparition . Ce moment était envoûtant , l’eau de la chute paraissait si pur si bleu , rien ne semblait atteindre cette scène . Mes membres s’alourdirent ,j’étais pétrifié , un tronc énorme avait commencé sa descente et Tycot ne l’avait pas vu . Je me retins de crier , il ne bougeait pas et courait à une mort certaine ainsi , je ressentais un malaise qui n’avait rien à voir avec l’accident qui allais se produire , une petite voix me chuchotait de rester immobile et d’observer. Le tronc le traversa sans le toucher . « Une image rétinienne persistante . Pas mal . »
Il s’étais donc aperçu de ma présence , ses affaires avaient disparu . Les progrès qu’il avait réalisé ne cessai de me surprendre , un frisson d’excitation parcouru mon échine ; cela faisait plus de dix ans que je n’avais plus été la proie d’un chasseur de talent .



J’avais décelé sa présence depuis qu’il avait brisé une branche , mon intuition m’avait averti bien avant mais je ne l’avais pas écouté . Que me voulait-il ? Pourquoi Saico me poursuivait il ainsi ? Je ne le savais pas mais je lui avais filé entre les doigts et c’étais à mon tour d’être le chasseur à présent , le soleil n’étais pas encore à son zénith la journée commencé à s’assombrir un vent se levait et quelque gouttes commencèrent à tomber . Je me mis à courir sans aucune discrétion non pas vers Saico mais vers le dojo d’ou s’élevait de la fumé et des flamme !
Je traversais la forêt avec facilité mais sans aucun ménagement pour mon corps à peine rétabli , des crampes apparurent rapidement suivi de la tétanisation de certain de mes muscle qui me faisait horriblement mal mais je ne pouvais m’arrêter . Saico n’aurait aucune difficulté à me suivre mais je ne m’en souciais pas . La panique me submergeait , j’angoissais à l’idée d’arriver au sommet de la colline qui s’élevait devant et d’y trouver en contre bas le dojo ravagé . Un effroyable spectacle s’offrit à moi , le dojo en flamme étaient entouré de soldat mort . Je m’élança à une vitesse folle sur la pente traître qui me menait jusqu'à mon maître . En milieu de parcours une pierre moussu et instable me fait perdre l’équilibre . Je dévala le restant de la pente en tournoyant sur moi même , j’écorchais mes chaires , mon bras se coinça dans une sailli , mon coude se brisa et puis grace a la vitesse celui ci se libera de l etreinte minerale , il pendait lamentablement sans aucune vie mais je descendais toujours . Ma tête percuta une arrête rocheuse , mon arcade sourcilière explosa , un sang rouge et sucré s’en écoula malgré cela je me releva , mon bras gauche était bel et bien déboîté au niveau du coude et prenait au niveau de ce dernier des angles contre nature . Je fis irruption dans la salle d’entraînement pour finalement m’écroulai dans les flammes . Hiko gisait à terre entouré de dizaines d’hommes , Toshi prêt de lui était mort d’un coup dans le dos et Camille était dénudé dans un coin mort violé . Je criais , pleurait pestant contre le sort , complètement anéantie je me traîna dehors . Une botte s’écrasa contre ma lèvre inférieur qui explosa à ce contact . Son possesseur ricanait « Un autre cafard ! Amusez-vous avec les gars on dirait une fille ! »
Une porte longtemps fermait vola en éclat dans mon esprit , la compartimentation de mon esprit n’étais plus , ma personnalité ainsi que mes souvenirs me revinrent ; mon pacte avec le phœnix maudit et ma haine refaisaient parti de moi . Je sentis à nouveau mon âme se faire violer , le serment me retirait tout . « Pas deux fois ! » m’écriais-je . Retrouver mon humanité tout ce que j’étais pour les reperdre au même instant m’était insupportable . Un hurlement inhumain suivis d’une explosion balayèrent les hommes en cette nuit de deuil . Tous ici présent porter en eux une flamme rouge …


Je regagnais le dojo plutôt déçu de la tournure des évènement , Tycot m’avait ignoré alors que nous aurions pu nous amuser . La lisière de la foret était enfin en vue lorsqu’un hurlement bestial me glaça le sang , ainsi s’était-il réveillé finalement ; cela avais pris moins de temps que je ne l’aurais cru . La vue d’ensemble était plutôt mauvaise , une cinquantaine d’hommes armés l’entouraient « Merde ! Il va mourir pour la seconde fois . « Je descendis soigneusement par le chemin tortueux , cris de souffrances et de terreur s’amplifiaient avec l’écho de la vallée pour finalement monté au ciel . Pourvu que je n’arrive pas trop tard ! Je sauta sur le toit et me précipita à son sommet afin de m’engager dans la bataille qui devait faire rage . La cour était rempli d’hommes démembré , leurs morts avaient du être douloureuse , faites d’une façon inhumaine et sadique . Au milieu de se charnier se trouvait deux hommes , l’un était à genoux , l’autre debout , tenait de sa main droite un sabre recouvert de flammes noires , de flammes noires ensorcelantes. Le commandant adverse pleurait devant lui .
« Pi .. Pitié ! » Sa langue tomba dans le sable sanglant , je n’avais même pas aperçu le mouvement d’ici ! Tycot le contempla quelques instant tel une panthère devant une biche , lassé , il le décapita négligemment .
Il porta alors une main à sa tête ce qui voilait la moitié de son visage , un sourire de dément s’esquissa sur ses lèvres , ses yeux tremblaient d’excitation et reflétait la folie humaine poussé à son paroxysme , sa gorge libera un rire effroyable , un psychopathe paraîtrais saint d’esprit face à lui pensais- je en frémissant .
La nuit étais tombé depuis peu de temps , les éclairs zébraient le ciel et des bourrasques de vent gorgé d’eau me glaçais les os . La terre pleurait-elle de la libération de ce démon ?
Mon pieds trébucha , un minuscule caillou commença à dévaler la pente du toit je le voyais roulé doucement puis prendre de la vitesse , mon souffle étais coupé , il quitta le toit pour atterrir sans bruit en contre bas du moins c’était ce que je pensais . Tycot se retourna ,nos regards se croisèrent ses yeux et ses traits n’avez rien d’humain , il n’était plus qu’un monstre dont le visages était déformé pas la colère et la haine . Je ne le vis pas prendre son impulsion mais il se précipita vers moi comme si il volait ,je n’arrivais pas à réagir face à la mort qui se dessinait dans son dos , la distance qui nous séparait semblait ne jamais avoir existé en quelque dixième de seconde à peine il m’avait rejoint . Je put sentir son souffle sur ma nuque , il étais dans mon dos !

CHAPITRE 8:

Je ne vis arrivé le premier coup , et pourtant je le para habilement mais il fut suivi immédiatement d'une estoc puis d'un coup de pied qui me fit roulé et provoqua ma chute . Un brusque mouvement du buste permis de me redresser , je tombais de presque 5 metres de haut ms je me receptionna sans mal sur la paume des mains , il s'en suivi un enchainement acrobatique de salto me permettant de me mettre hors de porté de ce sabre meurtrier .
Tycot était rester interdit devant ce spectacle ."Co...comment as tu fai cela ?"
"Pensais-tu réellement pouvoir blessé un ninja dans le dos ?"
Il sourit , semblant aprécié ce duel puis il accéléra , ou plutot disparu ."Rapide, bien trop rapide comment peut il me dépasser en vitesse pur?"pensais-je .
Son sabre me séctionna le tendon de l'avant-bras , quel imbecile je faisait , me déconcentrer ainsi cela ne me ressemblait pas je devai réagir .Ses assauts dévastateur ne s'arrétai pas , il ne se souciait en aucun cas de sa defense seul lui importer l'attaque et par extension ma mort.En cette instant ou il avait à la fois perdu sa seconde vie et retrouvé la première , il n'était plus qu'un berserk incapable de se controler ,ses pieds laissé ds la terre des traces profonde qui laissaient entrevoir la terible puissance de ses jambes , je n'avais aucune chance pas comme cela .Bien sur il me restait cette solution mais j'en pairais le prix fort mais avais-je réelement le choix ? Non bien sur que non si je n'utilisais pas toute mes cartes en ce moment face a cette ange noire je ne m'en tirerais pas .

"Dragon endormi , dragon endormi di papa ca veux dire quoi ? Cela t'interesse donc tant que cela ? me demanda mon père . Ba non enfin oui j'ai pas compri pourquoi le monsieur disais qu'il y avait un dragon endormi dans la maison et maintenant j'ai peur , c'est grand un dragon ? Il explosa de rire , oui c'est tres grand exeptionelement inteligent et doué d'une force surnaturelle mais ne t'inquiéte pas ce monsieur disais cela pour faire peut a ta petite soeur . Mais elle est gentille Lilith ! Oui mais elle est tête en l'air et cela l'as forcera à faire atention . A l'époque je n'avais rien compri mais je ne remetais pas la parole de mon père en doute . Bien plus tard je surpris une discution entre un homme important et mon père ; ce dernier dégageait une profonde tristesse . Vous comprennez il est né pour cela ici il ne poura que vous apportez des ennuies , c'est un age tres important il faut que nous lui aprenions ce que signifie réelement ce qui est enfoui au plus profond de son être si ce n'est pas fait et que cela se declenche accidentelement il pourai tué père et mère sans s'en rendre compte . Mon père répliqua "Mais il est d'une incroyable gentillesse cela ne lui conviendra pas ."Il se tut un instant ces derniers mots n'étaient pas tant une affirmation qu'un essai de se persuader lui meme . "Le reverrons nous ?" "Non il ne reviendra jamais ici l'entrainement est draconien il n'aura sans doute jamis une vie normale et puis cela le perturberais ; nous préferons tiré un traits sur leur passé et qu il puisse vivre le mieu possible .Cette nuit la je quita definitivement les miens vers une destination inconnu . J'entendais encore les pleur de ma soeur ; ses sanglots et hoquets accompagné de mon nom me dechirait l'âme , j'avais été abandonné , on m'emmenai je ne sais ou rien aurait pu être pire . Je me trompais ...

Revenant à la réalité je fut rassuré ce flash n'avait duré qu'un temps infime et tycot n'en avai pas profité pour porter une nouvelle charge. J'hésitais grandement a recourir à cette solution , uniquement dans les solutions extreme repensais-je .Aujourd'hui tel était le cas je n avais plus qu'un bras de valide , l'un de mes yeux avait été endommagé et une plaie béante d'ou s'écoulait ma vie venait de s'ouvrir sur ma poitrine . Je ne peux pas mourir , pas maintenant ! Un nouvelle passe d'arme s'engagea , ma lame fondit sur sa gorge mais rebondit contre son sabre , les flammes qui l'entourait semblait absorbé toute vie autour de lui un trou sans fond aspirant jusqu'a la lumiere elle meme ... Je maintenu ma pression ainsi son sabre etait occupé je pouvais donc librement utilisé mon autre kodachi , ma tête sembla se projeter en arriere tout seul . Comment ? Il m'avait atteint au menton mes jambes étaient paralysé , ma vue s'était troublé mais je ne voyais toujours pas comment il avai réalisé ceci . Je me stabilisa tant bien que mal et me retourna vers lui , il venai de lacher son foureau ! Tant de spontanéité et d'improvisation , cela n'envisageai rien de bon , il attaquai de plus belle et je ne pouvai esquiver sa lame s'abati sur mon premier sabre qui se brisa sous l'impact , sa force n'avait plus rien de comparable avec celle d'un humain et ses yeux virait d'un rouge sang a un noir deseperant , il me donnait l'impression d'etre simultanément un forcené avide de sang mais aussi un ange déchu habité par une tristesse sans limite . Ce dernier coup m'avait surpris mais je ne devait guere m'en etonnait le metal utilisé pour faire ces kodachi etait de pietre qualité ... Il repete la même chose , il veut biser mon second sabre ; Tycot s'était lancé sur moi avec toute la vitesse possible mais cette fois son sabre décrit une courbe ascendante ce qui envoya valser mon arme au loin mais cela ne s'areta pas la il utilisa la force centrifurge et pivota sur lui meme pour me porter un formidable coup qui miraculeusement ne m'entailla qu'une jambe . Son estimation avait été mauvaise ou pluto la pluie m'avait fai légerement glissé et m'avait permis de ne pas être evisceré , je fus tout de même projeté contre la maison à 5 metre de la car il avait de nouveau utilisé son foureau certe cela ne tranchait pas mais cela brisait tout . Je me releva encore une fois , un spasme parcouru mon corps , je hoqueta et cracha du sang ma respiration siflai . Merde j'ai les poumons transpercé pensais-je si je continu ainsi je suis mort .J'avais oublié quelque chose je le savais une pensé fondamentale pourquoi j'étais ici pourquoi je me battais contre cette homme .

Jo , Joona .Ce nom me revin à l'esprit et me fi éclater , je n'avais jamais atteint cette état meme sur les murailles comme habité par des esprit je commenca a danser sa lame ne me touchai plus , j'accélérais progressivement jusqu'à atteindre sa vitesse puis la dépassé . C'est ainsi que je vi pour la premiere fois sa soufrance , sa haine . Dans ce combat , nous n'étions plus que deux démon dément losque l'un de nous touchaient l'autre riait et repartai aussi tot à l'attaque . Notre duel dura toute une journé , plus une seul goutte de sang ne devait se trouver dans nos corps et pourtant nous continuions à nous battre , la terre elle meme semblait s'interesser a ce duel , la pluie et le tonerre avait cessé , les animaux s'etaient dissimulédans leur taniére. "Ce sabre me géne " pensais-je , ou as-t-il bien pu le trouver ? Mes deux kodachi avaient ete pulverisé depuis longtemps je conservai pour toutes armes mes membres ou du moins ce qu il en restait apres ces multiples assaut repeter . Il me fallai l areter mais comment ? "Reflechis Saico , reflechi ; il est perdu et son seul moyen d expression et sa rage et par extension son corps . Dans d'autre circonstance je n'aurais meme pas imaginer cette solution mais pourquoi pas maintenant , en ce moment d'égarement , il avait été le plus grand stratége de tout les temps mais ajourd'hui il n'était que l'ombre de lui même . Tout serait question de timing et de précision trop fort je le decapitai , trop lent je mourai de sa lame ; un jeu des plus excitant ! Pourais-je accomplir cela malgré mon bras gauche inutilisable ? A bien y reflechir non mais a ce moment la cela devint pour moi un défi une sorte de jeu . J'avais pu songé à tout cela car tycot s'était arrété . Il me dévisageait et son visage etait imprimé d un étonement tout a fait déplacé pendant ce genre de combat . Il ne comprenait pas pourquoi j'étais encore en vie mais surtout comment j'avais pu le dépassé en vitesse pur . C'était mon unique atout ; l'affaiblir par des contre attaque et ne plus me laisser toucher . Il s'aprochait j'esquivai puis je lui brisa un bras , il rechargea aussi tot sans faire atention a ce détails , je l'envoya valser contre le dojo enflammé en utilisant sa force grace a une projection . Cela me sembla duré une eternité . J'avais l'impression de lui avoir broyé l'ensemble du corps et pourtant il était toujours debout . Ma visiosn était troublé , j'avais perdu telement de sang que mon touché avai disparu petit a petit je perdai l'usage de mes sens . C'est maintenant ou jamais pensais-je , je doi miser le tout sur le tout . A nouveau il chargea par un mouvement du bassin je glissa sur lui me retrouvant dans son dos je frapa sa nuque avec precision c'est du moins ce que je pensais qd je remarqua une froide sensation envahir mon corps . De part et d'autre de mon torse se trouvait sa lame . Tu m'as bien eu pensais-je ainsi tu n'étais pas dupe. Mon bras s'abati sur sa nuque nous emportant tout les deux dans une nuit sans fin .

Peut être a suivre faut voire ^^

euh.... il manque le chapitre 3

Non enfin il est intégré au chapitre 2 quand je l'ais écrit je pensais juste ecrire la premiere partie et finalement j'ais ecrit le chapitre 3 en meme temps ce qui fait que le chapitre 2 et en fait un chapitre 2.5 ^^

Par contre :

Oh les fautes d'orthographes !

Mdr je m'en doutais de celle la^^
Je me suis pas vraiment relu après l'avoir écrit et voila ce que ca donne déjà à la base l'orthographe c'est pas ma tasse de thé désolé^^
Mais si ca vous a plus c'est déjà ça

Oui c'est super.

Tres bien ecrit.

ha, parce que tu as vraiment tout lu, lost ????

je suis persuadé que cela doit etre une tres belle histoire mais quand je vois tout ca, j'ai pas le courrage de commencer alire... :S

Citation :

ha, parce que tu as vraiment tout lu, lost ????

Oui j'ai lu.
Sa m'a pris 1/2h mais ça passe le temps et c'etait bien. [/quote]